Violence politique, accord de paix et justice Christian Guenebem répond à radio Ndeke Luka©Facebook
Christian Guenebem, secretaire général par intérim

Violence politique, accord de paix et justice Christian Guenebem répond à radio Ndeke Luka

Le secrétaire général par intérim du parti Kwa Na Kwa, Christian Guenebem se dit préoccuper de l’évolution de la situation politique. Sur le plan sécuritaire, l’homme politique note une volonté politique réelle du gouvernement à mettre en œuvre l’accord de paix. Cependant, les groupes armés dont les représentants siègent au gouvernement au nom de l’accord ne font pas assez pour ramener la paix.

Il note aussi la montée en puissance de la violence politique entretenue par les milices, citant ainsi les Requins qui prônent selon lui le discours de la haine à visage découvert. S’interrogeant sur l’inaction des pouvoirs judiciaires moins capables de s’autosaisir face aux délits qui tombent sous le coup de la loi. Quelques éléments qui justifient cette inquiétude. Dans ce même élan, il ne comprend pas pourquoi la Cour Constitutionnelle touche aux dispositions de la loi. Confirmant ainsi les accusations du coup d’Etat constitutionnelle déjà porté par le député Bertin Béa contre la Cour Constitutionnelle.