La sous-préfecture de Bambouti laissée pour compte©Stève Kaïmba
Stève Kaïmba, président du Cercle de développement communautaire de Obo

La sous-préfecture de Bambouti laissée pour compte

Insécurité, absence totale de l’autorité de l’Etat, dégradation des structures administratives dans la sous-préfecture, le tableau est sombre et encore loin d’avoir solution. Stève Kaïmba parle d’une situation sécurité précaire. Selon le président du cercle de développement communautaire, l’effectif des Forces de sécurité intérieure ne permet pas de couvrir la région. Avec la présence des FACA à Obo, l’espoir renait mais reste volatile. Stève Kaïmba précise que des villages indiqués sur la carte géographique du pays n’existent que de nom sur le terrain, c’est-à-dire littéralement disparus pour des questions de sécurité. Il souhaite l’organisation d’enquêtes multisectorielles pour collecter des données démographiques pour se rendre compte de la réalité sur le terrain.