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La Haute autorité chargée de la bonne gouvernance (HACBG) a réuni, ce 19 novembre, plus d’une cinquantaine de représentants du secteur public, du secteur privé et de la société civile pour discuter des conséquences de la corruption en République centrafricaine. Selon l’institution, même si aucune étude récente n’a évalué le taux de corruption dans le pays, les signes sont bien visibles. C’est ce constat qui a motivé cette séance de sensibilisation. Le point avec Bolyvice Massambaye.
