Le chef de fil de l'opposition Anicet Georges Dologuélé est monté au créneau pour dénoncer l'interférence du pouvoir exécutif dans le judiciaire. Il a qualifié de "dérive dictatoriale" certains faits et gestes de Faustin Archange Touadera.
Il ne voit pas les raisons d'atteintes à la sûreté de l'Etat pouvant justifier l'arrestation de Paul Créscent Béninga, car selon lui l'appel de la société civile en ce qui concerne l'eau est légitime. "N'allons pas chercher de la pou, là où il n'y a pas, alors que le danger est visible" a-t-il dit. Au sujet de la nomination des étrangers, Anicet Georges Dologuélé engage le gouvernement à communiquer en affirmant que lui aussi qu'il n'a pas compris l'accord de Khartoum.