La problématique du retour des acteurs de la crise centrafricaine au pays, cas de l’ancien président de la République François Bozizé Yangouvonda.©RNL/Jean-Fernand Koena
Christian Guenebem, secrétaire national aux rélations exterieure du KNK, Euloge Koy, représentant du MCU, Me Albert Panda activiste des droits de l'Homme et Armando Yanguendji, journaliste

La problématique du retour des acteurs de la crise centrafricaine au pays, cas de l’ancien président de la République François Bozizé Yangouvonda.

Le gouvernement centrafricain dans sa quête de la paix a signé un accord de paix avec les 14 groupes armés de Centrafrique, à l’issue des discussions menées à Khartoum du 24 janvier au 05 février dernier. Un accord a été conclu le 6 février 2019 à Bangui. Le KNK, parti allié du régime actuel a dans une conférence de presse dénoncé l’opposition de Bangui au retour de François Bozizé et le maintien sous contrôle judiciaire de son fils l’ancien ministre délégué à la défense Jean Francis Bozizé.  Le porte-parole du MCU Evariste Ngamana dans une interview accordée à Radio Ndeke Luka a évoqué lui, les sanctions des Nations Unies qui pèsent sur le retour de l’ex Président François Bozizé. Qui dit vrai ? Pour en débattre l’émission Patara reçoit Christian Guenebem, Secrétaire National aux relations extérieur du KNK, le parti de l’ancien président François Bozizé, Me Albert Panda, vice-président de l’OCDH activiste des droits de l’Homme et Euloge Koï Doctrouvé, Militant du Mouvement Cœurs-Unis, parti du Président Touadera et Rapporteur Général de la Synergie Centrafricaine.