Les remous sociaux nés de la dernière intégration et leurs conséquences sur l’éducation©RNL/Jean-Fernand Koena
Jean-Fernand Koena, journaliste, producteur de l'émission Patara, Ernest Mizedio, député de Obo et membre de la Commission éducation à l'Assemblée nationale, Ernest Mada, directeur de cabinet au ministère de l'Education nationale, Karl Blagué, observateur de la vie politique et Alain Loumandé, représentant les parents d'élèves

Les remous sociaux nés de la dernière intégration et leurs conséquences sur l’éducation

Les professeurs vacataires notent un dysfonctionnement et dénoncent un arrêté muet intégrant des personnalités sans respecter l’ordre promotionnel. Par conséquent, ils observent une grève pour exiger du gouvernement la transparence. Dans un élan de solidarité, les élèves sont sortis de leurs classes pour exiger du gouvernement le droit à l’éducation. La réaction de la police a été répressive.  Problème : la grogne des enseignants vacataires n’est pas sans conséquences sur le volume horaire, la qualité de l’enseignement à seulement 3 mois des examens de fin d’année. Questions : Qu’est ce qui peut expliquer ces remous? Le chef de l’Etat Faustin Archange Touadera, élu sur le postula de rupture d’une part et la primature en ravissant la vedette au ministère de la Fonction publique d’autre part ont-ils su gagner le pari ? Existe-t-il un arrêté muet?