Polémique autour du tarif de la carte nationale d’identité©RNL/Stéphane José Flémalé
De g à d, Carl Michael Kikobet, Jean Claude Zouba, Augustin Agou et Bruno Hyacinthe Gbiégba. Au centre du débat, Rodrigue Le Roi Benga.

Polémique autour du tarif de la carte nationale d’identité

La carte nationale d’identité ! Oui, on en parle dans l’émission Patara. En 2013, l’édition de ce document a été suspendue. Des bandits ont emporté la machine d’édition lors du putsch orchestré par la Séléka. Après plus de 7 ans de suspension, la carte nationale d’identité est en train de refaire surface. Cependant, avec un tarif qui fait polémique. 4500, 6000 F ou encore 6750 francs CFA. Alors, comment et qui doit fixer le tarif de l’établissement de la carte d’identité ? Non seulement le tarif, mais l’entreprise en charge de l’édition de ce document est aussi controversée, même par des responsables de la police centrafricaine. Comment l’entreprise Al Madina a-t-elle gagné le marché de confection de cette pièce ? C’est le débat. Pour en parler, l’équipe de Patara reçoit Jean-Claude Zoubanda, Inspecteur central en matière de police au cabinet du ministre de l’Intérieur, chargé de la sécurité publique ; Augustin Agou, député du 1er arrondissement de Bangui, membre de la Commission finance à l’Assemblée nationale et président du parti la Renaissance ; Bruno Hyacinthe Gbiégba, Avocat à la cour, coordonnateur de la Coalition centrafricaine pour la Cour pénale internationale, une organisation membre du groupe de travail de la société civile ; Carl Michaël Kikobet, 1er vice-président du Conseil national de la jeunesse.