Une action judiciaire contre les leaders de l’opposition, est-ce un acharnement politique ?©RNL/Stéphane José Flémalé
Les principaux débatteurs sur le plateau de l'émission Patara. Au centre, Armando Yanguendji

Une action judiciaire contre les leaders de l’opposition, est-ce un acharnement politique ?

Le bureau de l’Assemblée nationale a déclaré, le  la recevabilité de la demande de levée de l’immunité parlementaire de quatre députés de l’opposition démocratique. à savoir Anicet Georges Dologuélé, Martin Ziguélé, Abdou Karim Meckassoua et Aurélien Simplice Zingas. Emise par le 1er juge d’instruction via le ministre intérimaire de la justice, les procédures sont donc lancées. Cependant, le gouvernement est-il dans la logique en poursuivant ces élus ? Que reproche-t-on à Abdou Karim Meckassoua, Aurélien Simplice Zingas, Anicet Georges Dologuélé et Martin Ziguélé ? Quels sont les enjeux de cette action judiciaire? Est-ce un acharnement politique ? Pourquoi une enquête judiciaire à l’approche de l’élection des membres du bureau de l’Assemblée nationale? Est-ce la traduction en acte de l’engagement du  président Touadéra dans la lutte contre l’impunité en Centrafrique ? Pour répondre à ces préoccupations, Armando Yanguendji reçoit  Joseph Bendounga, député de la 3ème circonscription de Bimbo; Alexis N’dui Yabela, conseiller politique du Premier ministre et ancien directeur de l’Ecole nationale d’administration et de la magistrature et Paul Crescent Beninga, porte-parole du Groupe de travail de la société civile (GTSC).