La nomination des leaders des groupes armés, une violation de la Constitution selon certains élus de la nation©RNL / Stéphane Andjioyo
Le siège de l'Assemblée Nationale de la République Centrafricaine à Bangui

La nomination des leaders des groupes armés, une violation de la Constitution selon certains élus de la nation

La nomination de certains leaders des groupes armés à des postes des hautes fonctions de l’Etat se heurte à l’article 28 de la Constitution. Cet article interdit la désignation des chefs rebelles à des postes de responsabilité.