Société civile et classe politique indignées par les violences de samedi dernier à Bangui
Des organisations de la société civile et de la classe politique centrafricaines dénoncent les violences meurtrières de samedi dernier à Bangui, faits attribués par la population locale à des soldats tchadiens de la force africaine. Le commandement de la force africaine explique que des troupes tchadiennes avaient dû riposter après avoir été prises à partie par des miliciens Antibalaka, en deux endroits de la capitale. Les Antibalaka ont démenti.Ces altercations ont fait une trentaine de morts parmi les civils, selon


